la galerie des peintres officiels de la marine
                                         présente.  L 'l'HISTOIRE  MARITIME  PAR NOS PEINTRES ET DESSINATEURS.(souvent inconnus.)
                                                                                    Combats- Naufrages-  Marins-Navires-scénes cotiêres

                                     galerie de Brest.  boutique.jpg   boutique-.jpg
6 rue d' Armorique  Recouvrance  tel; 06.85.42.52.83

   
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                           PLAN D 'ATTAQUE DE  MARTIN GARCIA  11 Novembre 1838.
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La prise de l'île  Martin Garcia a eu lieu le 11octobre 1838.La France en ce temps là était en conflit avec le président Rosas qui gouvernait tyraniquement la république Argentine  et molestait
nos nationaux .L'amiral Leblanc qui commendait la division navale de l'Atlantique sud commença par faire le blocus de la Plata mais sans résultat.Il s'entendit alors avec le général Rivera
 commandant de l'armée uruguayenne qui était alors à la fois en guerre contre la république Argentine et en révolte contre le président Oribe de l'Uruguay;l'Amérique du sud méritait alors le
 nom de "panier de crabes"au moins autantque l'Europe centrale d'après guerre. L 'amiral français et le général uruguayen  décidèrent de s'emparer de l'île de Martin Garciasituée dans la rivière
et qui servait de base à des navires argentins pour forcer le blocus.L'opération fut conduite par le capitaine de corvette Daguenet.  Les corvettes  Bordelaise ,Expéditive,et Vigilante protégèrent
par leur feu le débarquement  des 225 marins français et des 50 soldats uruguayens qui bousculèrent les défenseurs et arborèrent le pavillon à fleur de lys sur la citadelle aux cris de "vive le roi".
c'était un succès qui n'avait coûté aux notres que quatre blessés et sur lequel l'amiral Leblan comptait pour faire céder Rosas
 http://historic-marine-france.com/la_restauration/trois-rois.htm                                                                                
prix   80    euros.

À l’extrémité de la Plata, au point même où le Parana et l’Uruguay, se faisant jour à travers mille découpures du terrain, viennent confondre leurs eaux, s’élève solitaire au milieu de leurs flots bourbeux l’îlot rocailleux de Martin-Garcia. La nature semble l’avoir placé là pour indiquer la limite où commence le Rio de la Plata. Tout autour de l’îlot de Martin-Garcia, les courans du fleuve, arrêtés et refoulés un instant, ont déposé des bancs de sable que d’étroits canaux séparent, navigables seulement quand les vents de la mer accumulent les eaux au fond de la rivière. Il y a long-temps que l’importance politique de ce rocher est appréciée : on y a bâti un fort dont le commandant peut ouvrir ou fermer à son gré la navigation des deux fleuves. Sur les bastions du fort flottait le drapeau de Buénos-Ayres, et cent cinquante soldats de la République Argentine, sous les ordres du colonel Costa, le gardaient. Le fort en lui-même avait peu de valeur : les murs en sont de terre, et les feux des batteries, au lieu de se croiser et de se réunir, s’entre-nuisaient et laissaient à découvert le point attaquable. Tel qu’il était cependant, et dans son état d’abandon, il paraissait aux soldats de Rivera un inexpugnable boulevard ; mais pour nos armes l’enlèvement de ce poste, si redouté dans le pays, n’était qu’un jeu, et nous savions qu’une fois là nulle puissance n’essaierait d’en déloger nos soldats. Ce fort, par sa position isolée du continent, par son caractère purement militaire, pouvait être considéré, ainsi que le sont les navires de guerre, comme un moyen de blocus ; sa prise n’entraînait donc pas une déclaration de guerre formelle. L’amiral décida qu’il s’en emparerait. Vers la fin de septembre, le brick-canonnière la Bordelaise et la gabare l’Expéditive reçurent l’ordre de bloquer l’îlot et d’empêcher qu’il fut secouru. En vain, à la vue des préparatifs hostiles, le colonel Costa protesta-t-il que la paix n’était point rompue entre les Français et les Argentins, et qu’il n’avait pas l’ordre de se défendre ; l’enlèvement du fort à la baïonnette était une affaire résolue. Certes nos matelots suffisaient pour ce coup de main, nous n’avions pas besoin d’emprunter le secours de soldats étrangers ; cependant l’amiral crut prudent d’adjoindre aux deux cent soixante-cinq marins désignés pour cette expédition cent cinquante soldats de l’Uruguay ; il admit aussi les goëlettes du général Rivera à coopérer avec nos navires de guerre. Il voulait par là démentir l’accusation portée contre nous par les Argentins de méditer une conquête dans l’Amérique méridionale.Le 11 octobre 1838, la Bordelaise et l’Expéditive s’embossèrent devant une des faces du fort. Les canots chargés des troupes de débarquement débordèrent ensemble de ces deux navires, et allèrent prendre terre sur un point du rivage qu’abritait contre le feu du fort une berge à pic. Heureusement les canons de l’ennemi ne commencèrent à tirer que quand nos matelots se trouvèrent abrités par cette espèce de chemin couvert : aucun des coups ne porta, et d’ailleurs ce feu fut bientôt éteint par celui de nos navires. Les matelots se mirent au pas de course, franchirent le fossé et la muraille ; les soldats argentins, étourdis de cette brusque attaque, ne se défendirent pas, et trente-deux minutes après le moment où les canots s’étaient mis en marche, le drapeau français était arboré aux créneaux de Martin-Garcia, uni aux couleurs orientales. Il importe peu de compter ici les blessés et les morts : notre perte fut insignifiante. Les soldats du général Rivera partagèrent avec nos matelots le service de la garnison, association malheureuse qui, en donnant à la France des auxiliaires plutôt embarrassans qu’utiles, leur créa, pour ainsi dire, le titre d’alliés de fait, et provoqua des prétentions que nous verrons bientôt s’élever contre notre liberté d’action. La garnison argentine fut transportée à Buénos-Ayres.

Aprise-ulluaAttaque . et prise de la forteresse de St Juan d'ULLUA
par le contre amiral Baudin   (extrait des annales maritimes de
1839 )    95 euros

La bataille de San Juan de Ulúa également appelée bataille de Veracruz, se déroule le pendant l’intervention française au Mexique de 1837-1839, souvent appelée en espagnol « guerre des Pâtisseries » (Guerra de los Pasteles) ou encore « première intervention française au Mexique » (Primera Intervención Francesa en Mexico).Cette opération militaire a pour but, au départ, de régler le différend commercial opposant les deux pays à la suite des troubles qui secouent le Mexique après son indépendance. Le combat, mené par une petite escadre française aux ordres du contre-amiral Charles Baudin contraint le fort de Saint-Jean d’Ulloa à la capitulation le 28 novembre 1838. Devant la résistance du gouvernement mexicain, l'opération se prolonge jusqu'au 5 décembre avec un raid sur Veracruz pour désarmer la ville et tenter de capturer les chefs mexicains Antonio López de Santa Anna et Mariano Arista.La chute du fort, qui passe pour imprenable, fait découvrir aux observateurs militaires l'efficacité des nouveaux canons Paixhans tirant des obus explosifs à la place des traditionnels boulets. Sur le plan politique, cette bataille contribue à l’instabilité politique du Mexique, et sur le plan militaire à la modernisation des grandes marines de guerre. L'affrontement provoque sur le moment un émoi considérable puis tombe ensuite dans l’oubli à cause des conflits de plus grande envergure auxquels participent le Mexique et la France lors des décennies suivantes.Baudin dispose en additionnant ses forces à celles de son prédécesseur qu’il relève, de quatre frégates : l’Iphigénie (60 canons), la Néréide (50), la Gloire (50) et la Médée (50) contre amiral Théodore Leray. Une cinquième frégate, l’Herminie ) qui faisait partie des forces de Bazoche, manque à l’appel car elle s’est échouée aux Bermudes. Suivent deux corvettes, la Créole  et la Naîade , puis les bricks, au nombre de huit : l’Alcibiade , le Lapérouse , le Voltigeur , le Cuirassier , l’Eclipse), le Dupetit-Thouars , le Dunois  et le Zèbre . Un neuvième brick, le Laurier, n’est pas présent car trop endommagé par la tempête, il a dû être dérouté sur La Havane. Deux navires à bombardes, porteurs chacun de deux mortiers, complètent la puissance de feu de l’escadre : le Cyclope et le Vulcain. Le Météore et le Phaéton, deux vapeurs à aubes doivent faciliter les manœuvres dans les eaux portuaires, et deux corvettes de charge non armées, la Fortune et la Caravane complètent la logistique. Baudin, qui a mis son pavillon sur la Néréide, dispose donc de 20 navires et 380 bouches à feu (tout type de canons confondus). C’est, sur le papier, une force respectable, mais on remarque l’absence de vaisseaux de ligne. Un choix qui ne doit rien au hasard, mais qu’il faut interpréter comme un signal envoyé à l’Angleterre que cette expédition, destinée à faire pression sur le Mexique, ne menace en rien sa suprématie navale.Baudin dispose aussi de trois compagnies d’artillerie de marine et d’un détachement du Génie. C’est somme toute fort peu, d’autant qu’il n’y a pas de troupes d’infanterie de marine : on ne voit donc rien qui puisse permettre un débarquement en masse sur un pays grand comme quatre fois la France, même si les instructions sont d’utiliser la force en cas de besoin, c'est-à-dire en cas de nouvel échec des négociations.

les deux bases françaises de la Martinique et de la Guadeloupe, situées à l’autre extrémité de l’arc antillais, sont à plusieurs milliers de kilomètres du golfe du Mexique, ce qui oblige l’escadre à utiliser La Havane comme port de relâche et la rend plus ou moins dépendante du bon vouloir espagnol

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Grande fresque. dessinée  prix  400   euros.
La bataille des 4 jours  du 11 au 14 juin 1666 la flotte anglaise et la flotte néerlandaise décide de s'attaquer dans le sud de la mer du nord lors de la bataille des quatre jours
au cours de
 laquelle intervient l'escadre du prince Rupert aprè deux jours de combat .les anglais subissent une lourde défaite ;perdant dix navires et 8.000 hommes contre seulement quatre navires et 2.000 hommes pour les Néerlandais .Lors du troisième passage les Néerlandais sont sous le vent ;Leurs canons sont dans une position qui favorise la portée .........



Naufrage.
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naufrage à Salonique 1936
      Aquarelle
prix 45 euros

ponroy.JPGEpave   signe A  Ponroy      
  PONROY Alfred   peintre et officier de marine né  à Issoudin en 1822 mort en mer sur le Borda en 1876 d'une maladie   prix 250 euros
naufrage.JPGNaufrage  dessin
naufrage-.JPGnaufrage


NAVIRES.
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tres vieux dessin  pêcheurs
80 euros
pecheurs.JPG
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La guerre 1914/1918 livre-14-18.jpg              .L' illustration. couvre la grande guerre.
La photograpohie coexiste avec la gravure..La guerre de 14/18 sera le dernier grand événement qui va utiliser ces deux moyens d'information,ensuite la photographie va   détronner la  gravure. Voir notre page       journaux.
La première guerre mondiale vue par les peintres par Frédéric Lacaille éditions Citédis 1998.Monsieur Lacaille retient. François Flameng.1856/1923.    Léon Brocquet 1869/1936.
Georges Scott. 1873/1943.        Maurice Busset 1879/1936.
Eugéne-louis Gillot peintre de marine   Charles Fouqueray peintre de marine.
Lucien Jonas peintre de marine.   Felix Vallotton 1865/1925. 

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Dessin d'Eugéne Delecluse. (1882-1972). "le Colbert" 23 déc 1916  monogramme ED

Eugène Delecluse est né à Paris, fils de peintre la guerre le surprend et le conduit à la bataille de la Marne .Il  y réalise une série d'oeuvres dont certaines serviront au journal " l'Illustration". Envoyé à Salonique avec l'armée d'Orient le peintre trouve des sujets d'inspiration nouveaux dans ce voyage ,durant cette première guerre balkanique.

Prix  :150 Euros.le cargo COLBERT le 06 avril 1916 échappe à un sous-marin allemand.
dessin sur une feuille de carnet

Charles Fouqueray. a "couvert la guerre"
il existe aussi de nombreuses cartes postales de Fouqueray
14-18_cartes.jpgeen vente 7 euros
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La guerre 1939/1945. Dakar et Mers el Kebir par Marin-Marie  estampes.
            prix
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                                                                       Les           Côtes maritimes.
Dessins d'Emile  ROUX.roux-etel.JPGEtel  Morbihan     prix  90 euros l'ensemble (1 signé les autres caché E Roux )
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                                                              mouillage de Paros Gréce                                            grosse tour Toulon                                                       rade de Toulon                                                                   Ténédos  

Nombreux dessins extraits d'un carnet d'esquisses d'un peintre  (non signées )
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carnet-11.JPGlLa pointe Saint Mathieu    esquisses des côtes bretonnes  prix  10 euros chaque  dessin
Dessins des côtes.
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heve.JPG
plage.JPG..
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rochelle.JPGla Rochelle.






                                                               PORTRAITS.
inconnu.JPGinconnu? Fusain en mauvais état inconnue-.JPGinconnu?  Prix 400 euros les deux