vous présentent:
CAHOURS Henry Maurice . né en 1889 mort en
1954
.a été nommé peintre
officiel de la marine en 1942 . C'est un peintre de paysages bretons. nombreuses aquarelles
d
e . c'est
un peintre " parisien" des côtes bretonnes.
Peintre français né en 1889 à Paris,
décédé à Cagnes-sur-Mer en 1974 (85
ans)
.Henry Maurice Cahours fréquentait les
Beaux-Arts d’Amiens, en même temps que le lycée. il termina ses études à Lille
Arrivé à Montmartre en 1911, il y a
habité jusqu’en 1965,
date à laquelle il s’est retiré dans le midi. .Arrivé sur la Butte
en 1911, il a habité la Maison de Mimi Pinson (auj.
emplacement du château d’eau, rue du Mont Cenis), et se
consacra désormais à la peinture.
Il fréquentait le microcosme montmartrois et était ami
avec Marcel Aymé qui lui a écrit un beau texte mettant à
l’honneur ses œuvres
Peintre dans la lignée de Marquet, en plus des rues Montmartre
qu’il aimait représenter, il s’était
consacré aux marines
bretonnes;
il avait acheté, vers 1955, une maison aux Petites
Dalles, en Normandie, là où Monet avait séjourné en 1880
.En 1976, le Musée Château de l’Emperi à Salon-de-Provence lui
a consacré une rétrospective, puis le Musée de Montmartre l’a
mis à l’honneur lors d’une exposition personnelle en 1987.
., il servit au
8e Chasseurs à pied (126e R.I.)
.Et
en 1916, Cahours se maria, par procuration, avec Hélène, fille du
sculpteur Frédéric Debon.
Après la guerre, le couple s’installa rue Berthe, dans le
studio de Pissarro, et fit alors connaissance avec tous les
peintres de la Butte ;
c’était aussi l’année du début de ses séjours à Douarnenez.Cahours
participa au Salon des Artistes Français en 1920, deux ans plus
tard aux Indépendants, il continua ses envois jusqu’en 1942.La galerie
Terrisse lui organisa une exposition en 1923, ainsi que la galerie
Georges Petit, dirigée par André Schœller, en 1930 et 1931. Il
exposa dans de nombreuses villes de province jusqu’en 1942, année
du décès de sa femme, il cessa alors de montrer ses œuvres pendant
plusieurs années.
Nommé peintre officiel de la marine en
1942
Il
était cependant présent à l’exposition itinérante “Montmartre en
Alger”, en 1948, organisée par Madeleine Horst, avec les peintres,
anciens et récents, de la Butte, qui se renouvela en 1951, sous le
titre “Montmartre de jadis à aujourd’hui”.On le trouvait
au 19, rue Gabrielle, au moins jusqu’en 1939, dans un grand
atelier.
Dans les années 20, Maurice Cahours fut nommé directeur des
Beaux-Arts de la Commune Libre du Vieux-Montmartre.A ce titre, il
a été associé à la création de la cité dite “Montmartre aux
Artistes”, au 189 de la rue Ordener. Le succès venu, il s’installa
dans la maison-atelier du 2bis, rue Cortot ; cette adresse figure
dans le catalogue du Salon des Indépendants, où il exposa, en
1928, deux œuvres “les Brûleurs de goémon (Notre-Dame de la
Joie)”, et “Bénédiction de la mer à Douarnenez”,
ainsi que dans celui du Salon des Artistes Français en 1930, où il
présenta deux vues de Pouldavid.
Peintre dans la lignée de Marquet, il s’était
consacré aux marines
bretonnes ; il
avait acheté, vers 1955, une maison aux Petites Dalles, en
Normandie, là où Monet avait séjourné en 1880.Il a peint
aussi les vieilles rues de Montmartre.Le père Cahours, grand,
légèrement courbé, la casquette de marin vissée sur une tête aux
traits anguleux, et l’œil malicieux, aimait appeler l’ami de
rencontre “mon fils'
.C’était une des figures
marquantes du Montmartre de l’après-guerre, ami de Labric,
de Clochette, de Pomme, habitué de chez Barbe, copain de
Derain, de d’Esparbès, de Favrel et de tous les
personnages hors série que Montmartre semblait attirer
dans les années 50
.Le 13 décembre 1965, il s’était remarié avec
Albertine Perrier (née le 4 avril 1926, décédée le 10 juin
1994), qu’il avait connu au “Grenier”, chez Fred Bretonnière ;
elle se faisait appeler Catherine ; celle-ci afin de préserver
une santé mise à mal dans les caboulots de la Butte, le poussa
à se retirer dans le Midi.
Il transforma l’ancienne prison de l’Evêché de Vence,
construite au XVe siècle, en atelier, où il continua à
peindre, dans la même tonalité, des marines de Bretagne
.Chaque année, en septembre, de retour de
Normandie, il faisait halte sur la Butte pour vendre aux amis
et aux marchands, les marines peintes sur les rivages de
l’Atlantique et de la Manche.
Il s’éteignit à Vence en fin 1974, à l’âge de 85 ans,
En fin d’année 1976, le
Musée château de l’Emperi à Salon-de-Provence a présenté une
rétrospective, avec un livre, texte d’Angelo Mistrangelo,
grâce au marchand turinois Pirra, qui l’avait pris en contrat
en 1972 ; celui-ci a édité trois livres sur le peintre, et
organisé au Musée de Montmartre une rétrospective (1987),
Parisot étant commissaire.Cahours a gravé à l’eau-forte 16
planches, réunies en un portofolio, sous le titre de
Breiz-Izel (Basse Bretagne), pour lequel Marcel Aymé écrivit
un texte qui se termine par “L’auteur a su mettre dans ses
eaux-fortes l’amour et la sensibilité qu’on trouve déjà dans
ses toiles, avec tout ce que la gravure permet à un artiste
authentique d’apporter de délicatesse et de fini”.Dans une
préface consacrée au peintre, Marcel Aymé écrivait “La seule
tradition montmartroise dont puissent se réclamer ces
peintres, il faut la rechercher dans un climat particulier de
camaraderie et de vacherie, très authentique, lesquelles
appartiennent à l’histoire des cafés de la Butte”.
PARIS,
L'Artiste 1950 - Album in-folio en ff. sous couv. rempliée
(défr.) - E.O., Tirage unique à 160 ex., tous sur pur fil
du Marais, N° 75 - Seulement 4/16 eaux-fortes (85 x 105
mm) , mais bien completet de l'aquarelle originale -
Préface & poésie 8 pages CAHOURS : un petit
dessin (Henry Maurice CAHOURS (1889 - 1974). Henri
Maurice CAHOURS, Peintre. Paris, 1889, Cagnes-sur-Mer,
1974.Fréquenta les Beaux-Arts dAmiens, après la guerre
14/18,il commença ses séjours à Douarnenez.Participa au
Salon des Artistes Français en 1920, en 1922 au Salon des
IndépendantsIl exposa dans de nombreuses villes de
province jusquen 1942, année du décès de sa femme,Au Salon
des Indépendants de 1928, il exposa deux uvres les
Brûleurs de goémon (Notre-Dame de la Joie), et Bénédiction
de la mer à Douarnenez, dans celui du Salon des Artistes
Français en 1930,il présenta deux vues de Pouldavid.
Peintre dans la lignée de Marquet, il sétait consacré aux
marines bretonnes .Cahours a gravé à leau-forte 16
planches, réunies en un portofolio, sous le titre de
Breiz-Izel (Basse Bretagne), pour lequel Marcel Aymé
écrivit un texte qui se termine par Lauteur a su mettre
dans ses eaux-fortes lamour et la sensibilité quon trouve
déjà dans ses toiles, avec tout ce que la gravure permet à
un artiste authentique dapporter de délicatesse et de fini
100 -
200 EUR
Breiz-IzelPortfolio avec une aquarelle originale de HM
Cahours, préface de Marcel Aymé, Poeme de Jean Vertex,
1950, (usure sur le portfolio)
.....Commentaires de nos lecteurs sur la
page CAHOURS et vu sur internet !!
2023./2024.
Henry Maurice CAHOURS (1889-1974)Douarnenez, le port
Huile sur isorel signée en bas à droite46 x 55 . 400 euros
Henry Maurice CAHOURS (1889-1974)L'abordageAquarelle
H. 22 cm - L. 27 cm
Henry Maurice CAHOURS (1889 - 1974)Promeneurs sous la pluie
Peinture à l'huile sur panneau signé en bas à droite 20x15cm..150 euros . Henri Maurice CAHOURS (1889-1974): "Les sardinières" Huile sur toile signée en bas à gauche . Dimensions: 51 x 62 cm. 300 euros.
Henri Maurice CAHOURS (1889-1974)Les goémoniers Huile sur panneau, signée en bas à droite 26 x 40 cm . 600 euros.
novembre 2022.
Henry Maurice
CAHOURS (1889-1974). Charrettes sur la plage.
Huile sur panneau. Signé en bas à droite. 20 x 24
cm.300 euros. ramasseurs
de varech
Henry Maurice CAHOURS (1889-1974) "Les voiliersà l'échouage", huile sur panneau, 19.5 x 24.5 cm.. 300 euros...