BOMPARD Pierre.                                                                           
Né en 1890. Décédé en 1962.
Nommé peintre officiel de la marine en  1936.
Pierre Bompard effectue plusieurs embarquement en qualité de peintre de la marine
 En  1957  " pierre Bompard " officier de la légion d'honneur peintre titulaire a séjourné aux  Marquises pour ériger un  tombeau à Gaugin.
                                                          

1890-1962, peintre. Pierre Bompard étudie à l'académie Julian puis aux Beaux-Arts. Il exécute des paysages bretons et des scènes de la vie des marins. Il réalise des décorations pour l'Hotêl Lutetia à Paris. Il expose aux Indépendants, au salon d'Automne et aux Tuileries.
 Il voyage en Polynésie en 1958 pour aller construire aux îles Marquises, la tombe de Paul Gauguin qui repose à Atuona sous une simple dalle de pierre et peint des aquarelles colorées et lumineuses.

• Pierre Bompard, « La nouvelle tombe de Gauguin à Atuona », Journal de la Sté des Océanistes (Paris), tome XV, n° 15, 1959
• Sauvée de l'anonymat en 1921 par un membre de la Société des fakirs américains (!), restaurée une première fois en 1929 par les soins de la Société des Études Océaniennes, elle ne trouve l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui qu'à partir de 1958 grâce à l'initiative du peintre de la Marine Pierre Bompard, et aux bras de quelques Marquisiens réquisitionnés pour le transport de pierres de 70 à 80 kg depuis une vallée voisine. Enfin, c'est en 1973 que la Fondation Singer-Polignac fait réaliser le bronze d'Oviri qui, depuis, veille sur le cimetière d'Atuona.
• Pierre Bompard, « Ma mission Paul Gauguin aux Marquises », Paris : Éd. des deux miroirs, 1962
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  Attention ne pas confondre  Maurice Bompard  avec  Pierre  Bompard !!

Élève de l'Académie Julian, il participe dès 1911 au Salon des indépendants puis en 1924 au Salon des Tuileries. Il reçoit alors de nombreuses commandes de grandes décorations murales telles à l'hôtel Lutetia les décorations des salons sur le thème de la mer et des navires.

Il est récompensé en 1925 le prix du comité américain pour L'Appui aux artistes et expose en 1926 à la rétrospective des Indépendants les toiles Le débit à Doëlan, La sardinerie de Doëlan, Paysage, Nature morte (pommes), Pêcheurs à Doëlan.

Il devient en 1936 peintre officiel de la Marine et à ce titre, il décore la rotonde du Collège de France de deux allégories de la Physique et de la Chimie et expose au Salon d'Automne dont il devient membre du comité en 1938

Voyageant en 1957, durant onze mois en Polynésie française où il effectue de nombreuses aquarelles, il remarque l'état d'abandon dans lequel se trouve la tombe de Paul Gauguin. Il se propose alors pour la restaurer. À ses frais il édifie un monument funéraire en pierres volcaniques rouges et noires. Celui-ci se trouve dans le cimetière de Hiva Oa                           

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Ne nous mentons pas, plus personne ne connait aujourd’hui le peintre Pierre Bompard né à Verdun et mort à Paris. C’est un tort. Avec sa solide formation à l’académie Julian, ses tableaux sont séduisants et ont d’ailleurs beaucoup séduit de son vivant.Il a fait tous les salons en commençant par de celui des indépendants en 1911 et le salon des Tuileries en 1924 ou encore le salon d’automne en 1938.  Les commandes officielles ont plu de décorations pour l’hôtel Lutetia au grand salon de la préfecture de Vannes en passant par la décoration de la rotonde du collège de France. Bien sûr il recevra aussi la légion d’honneur.De lui-même à ses frais lors d’un voyage en Polynésie en 1958, il construisit un monument funéraire à la gloire de Gauguin, encore enjolivé depuis, qui était enterré dans le cimetière, à l’époque, sous une simple pierre.Une galerie redécouvrira peut-être un jour Pierre Bompard en sentant que la mode a changé que son graphisme redevient dans l’air du temps. En attendant il vaut des clopinettes avec beaucoup d’invendus.n une, le 30 octobre 2020 chez Gros et Delettrez, l’huile sur toile 34 x 55 cm représentant un village breton a tout de même trouvé preneur à 780€ soit plus de 5 fois l’estimation basse du commissaire priseurqui a eu une heureuse surprise. Ci-dessous le 24 février 2019 à Saint Germain en Laye chez SGL enchères, l’aquarelle, une vue de Bora Bora, fit 1234 €.