présentent:
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.Arnoux Guy.
né en 1886 à Paris et mort en 1951 à
Orléans 65 ans ( il est issu d'une famille de
militaires mais aucun marin), est
nommé peintre officiel de la
marine en 1921
Il est surtout connu comme illustrateur
,imagier,affichiste
En 1914 il fait la guerre dans l'artillerie,est
blessé en 1918
il demande une affectation dans
la marine,en 1921le vice-amiral Tracou le chargea de
mission en mai 1918 à Rochefort et à la Rochelle
pour embarquer à bord des bâtiments de patrouille et
auprès des commandants des centres de l'aéronautique
maritime avec interdiction de voler. apres la guerre
toujours sous l'aile de l'amiral Tracou il est autorisé à
embarquer
il embarque à Cherbourg sur "le Pourquoi
Pas?"le ministre lui écrit en 1921" jai décidé le 20 mai 1921
que vous seriez embarqué à titre de peintre de la marine à bord
du Pourquoi-pas,au cours de la mission qui vient de lui être
confiée"
Il décore le cercle naval de Toulon,décore
des navires de la marine nationale, (le Cassard et le
Terrible)embarque comme peintre sur le Richelieu,
part aux U/S avec le Georges Leygues. 1947
S'est intéressé aux domaines les plus variés de l'art
décoratif : décors pour les
paquebots, affiches, menus, programmes
,Son euvre est reconnaissable par un cerne
noir réalisé au pochoir
.
Il a illustré près de quatre-vingts livres dont plusieurs grands
formats d'une remarquable qualité d'impression chez Devambez
(1917
: Quelques drapeaux français; 1918 : Tambours et
trompettes).
Parmi ceux-ci, il
faut citer plusieurs grands formats d’une remarquable qualité
d’impression édités chez Devambez, au début du XXe
siècle, que leur typographie imitant l’écriture manuscrite a
rendu célèbres (Le dernier des Rochehaut, Les
marins, Le soldat français dans les guerres, Quelques
drapeaux français, Chansons
du marin français au temps de la marine en bois, Les caractères observés par un
vieux philosophe du haut de sa fenêtre., etc.). Après la
première Guerre mondiale, il participe à plusieurs livres pour
les enfants : Le bon anglais, Carnet d’un
permissionnaire, Nos frères d’Amérique… Entre
1912 et 1925 il collabore également à la célèbre revue de mode La
Gazette du bon ton.
insi, dans je
t'en tiens un une jeune femme en tenue de campagne attrape,
doucement amusée, un petit poisson au bout de sa canne à pêche ; dansla belle vicomtesse le costume est de la même manière mis
en valeur tandis que le corps s'efface derrière les tissus et le
trait noir appuyé, si caractéristique du style d'Arnoux.
Enfin, il illustre plusieurs œuvres littéraires, dont celles
d’Alfred de Vigny, d’André Maurois, de Pierre Mac Orlan ou de
François Villon. À l'issue de la Guerre de
1914-18, il participe à de charmants petits livres pour les
enfants : Le bon Anglais, Carnet d'un permissionnaire, Nos
frères d'Amérique…
Entre 1912 et 1925 il collabore à la célèbre revue de mode
la Gazette du bon ton Il s'est intéressé
aux domaines les plus variés de l'art décoratif :
décors pour les paquebots (dont le
Lafayette en 1930),publicités jeux affiches, menus, programmes, costumes, éventails, foulards,
et même des chaussures
Il laisse derrière lui un caractère d'imprimerie, intitulé Guy-Arnoux
capitale, qu'il a réalisé en 1914 à la demande de Georges
Peignot pour la fonderie PeignotIssu d'une famille de militaires,
l'armée et le patriotisme constituent ses thèmes favoris,
allant parfois jusqu'à une certaine naïveté chauvine.
En 1921, il est nommé peintre
officiel de la marine.
En 1945 il illustre pour Alsatia un livre pour
enfants Trois campagnes d'Alsace : 1674, 1793, 1944.Son trait est reconnaissable entre tous : un
cerne noir et de larges aplats, très souvent réalisés au pochoir.
Il est le représentant d'un nouvel art populaire, à la fois
moderne et traditionnel. C'est sans doute le dernier grand imagier
français
Il est le représentant
d'un nouvel art populaire, à la fois moderne et traditionnel.
C'est sans doute le dernier grand imagier français.Il fait
partie du cercle des Mortigny, fondé par Dimitri d'Osnobichine, en 1908 ,
qui regroupe de nombreux artistes et habitués de la vie
parisienne :
Paul Poiret, Bernard Boutet de Monvel, Pierre Brissaud, Georges
Villa, Joë Hamman, Lucien-Victor
Guirand de Scevola, Joseph Pinchon, André Warnod,
Pierre Troisgros, Jean Routier,
Henri Callot, Pierre Falize, Pierre Prunier, cercle qui
fonctionne jusque dans les années 50
Il meurt en 1951, près d'Orléans en Sologne ,aprés une
longue marche , un peu oublié, loin de Paris et de la mer qu'il avait tant aimés.
vendredi,
salle du conseil de la mairie. Guy Lasnier, adjoint chargé
de la culture, a qualifié cette exposition de « patrimoniale ». Il
a, notamment, rappelé les nombreux liens du peintre, à la fois
sérieux et extravagant, avec la commune au travers de la maison
familiale de La Rousselière, mais aussi avec l'abbé Guillaume,
autre personnalité de la cité.
Une exposition en
prélude à un muséeFrançois-Jérôme
Arnoux, petit-fils et biographe de Guy Arnoux, propriétaire des
œuvres exposées, a présenté son grand-père : « C'était un sacré
bonhomme, dans le bon sens du terme, mais au caractère impossible
et entouré de beaucoup de légendes ». Retraité, il a décidé de se
consacrer à reconstituer sa vie. Résidant aujourd'hui à
Aix-en-Provence, il envisage de venir habiter à Ardon, d'ici 2 à 3
ans, et d'y créer un musée, un espace culturel principalement
consacré à celui qui fut peintre officiel de la marine, mais
pouvant également accueillir d'autres expositions.
La quarantaine de tableaux exposés, jusqu'à
fin août, ne reflètent qu'une partie des talents de l'artiste.
En effet, Guy Arnoux était à la fois dessinateur, illustrateur,
graveur, peintre, organisateur de bals et de galas, décorateur
et costumier pour le théâtre et le cinéma. La mode, l'histoire,
la musique, les arts de la chasse l'intéressaient aussi, et son
esprit accompagné d'une certaine espièglerie enchantait la haute
société parisienne. Il a fréquenté, entre autres, Mistinguett,
avec qui il aurait été très ami et Sacha Guitry. Né en 1886, à
Paris, l'artiste a passé toute son enfance dans la propriété
familiale d'Ardon où il est inhumé, dans le caveau familial, au
cimetière du village.Ces œuvres, abordant une multitude de
thèmes, sont un témoignage attentif de la première moitié du XX
e siècle, très troublée.
Quelques oeuvres vendues ces dernières années
Gui
ARNOUX (1886-1951)
Paire d'aquarelles sur papier des scènes de vie sous Louis
XV, un chasseur et son valet
, et des soldats jouant aux dés Signées Encadrées sous
verre H. 22 cm - L. 29 cm |
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5544444455555
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Liens internet.
cliquez sur l 'image. étude
dimensions prix
commentaires de nos lecteurs sur la
page guy Arnoux
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monsieur
j'ai acheté sur le site librairie-marine ce livre illustré
par guy Arnoux cordialement
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Quelques oeuvres vues sur
internet..des précisions ? étude dimensions prix
cliquez sur l'image....
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Ouvrages illustrés
- Le Dernier des Rochehaut de Henri Chervet, Paris, Devambez,
1920
- Le Soldat français dans les guerres,
Paris, Société Littéraire de France, 1917
- Les Françaises, Quatre images
allégoriques, Paris, Devambez, 1918
- Les Marins de France, sous
patronage du Secrétariat d’État à la Marine, Draeger, 1918
- Chansons du marin français au temps
de la marine en bois, Paris, Devambez, 1920
- Les Caractères observés par un
vieux philosophe du haut de sa fenêtre, Chez Devambez,
1920
- La Peur de Mr Fierce, Claude Farrere, Le
Livre 1922
- Essais sur le théâtre 1921-1922
de Jean des Vallières. (Six
illustrations), aux Editions La Douce France, 1923
- Essais sur le théâtre 1923-1924
de Jean des Vallières. (Cinq illustrations), aux Editions La
Douce France, 1925
- La Bataille, Claude Farrere,
Mornay "Les beaux Livres" 1926
- Thomas l'agnelet gentilhomme de
fortune, Claude
Farrere, Javal et Bourdeaux 1927
- Les Silences
du colonel Bramble, d'André
Maurois, Jean Variot, 1928
- Saint-cendre, Maurice Maindron, Mornay "Les
beaux Livres" 1930
- Le Vitriol de lune, de Henri Beraud, Mornay
"Les beaux Livres" 1931
- Les Œuvres de François Villon, Paris,
Rombaldi, 1935
- L'Aigle de mer d'Édouard Peisson, Paris,
Éditions de la nouvelle France, 1941
- Le Beau sergent du roi, de Henri Beraud, Éditions
Littéraires de France 1941
- Napoléon III d'Octave Aubry, Paris, Fayard,
collection Le Livre de demain,
22 bois originaux
- Main d'Arc, Jean de La Varende, Paris,
Rombaldi, 1943
- L'Ancre de
miséricorde de Pierre
Mac Orlan, Paris, Éditions de la nouvelle France,
1944
- Souvenirs d’un paria, Les
Mémoires de Sanson, d'Honoré de
Balzac, Paris, 1944, pochoirs
- Terres de débat de Carton de
Wiart, Paris, Éditions Littéraires de France, 1945
- Pontcarral
de Albéric
Cahuet, Paris, Mornay, 1946
- Pays d'Ouche, Jean de La Varende, Paris,
Rombaldi, 1946
- Les Cavaliers sous les voûtes de
Notre-Dame, Père de Reviers des Mauny, Esprit et
Tradition, Daniel Deschênes, éditeur, Paris, 1946
- Le Bien-Aimé de Sacha Guitry, Paris, Editions
Raoul Solar, 1950
- Les Temps ne sont plus... Souvenirs
de vingt-cinq années de vénerie de Robert Villatte des Prûgnes,
Moulins, Crépin-Leblond, 1951
- "Leclerc" de Charles
Pichon, Paris, S.E.F.I., 1948
Arnoux guy sur google.